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by Mamadou Dieng

Interview avec Mame Alassane Ba Dieng, fondateur de la marque BADIENG

septembre 26, 2020
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LeadSen a eu l’immense plaisir d’interviewer Monsieur Mame Alassane Ba Dieng, entrepreneur et fondateur de la marque de vêtements BADIENG.

LeadSen : Pouvez-vous vous présenter M. Dieng ?

Mame_Alassane_Ba_Dieng : C’est M. Mame Alassane Ba Dieng plus connu sous le nom de BADIENG.

Je suis né et j’ai grandi à Pire Gourèye, Département de Tivaouane/Thiès.

J’ai fait mes études primaires et secondaires à Pire, puis j’ai rejoint le Lycée de Tivaouane où j’ai passé un an, en passant par ACAPES de Tivaouane là où j’ai eu mon BAC.

Ensuite, j’ai déposé mes valises à l’université de Cheikh Anta Diop (UCAD) dans le Département d’anglais mais comme je désirais faire des études touristiques, car étant séduit par cette filière, j’étais obligé de faire une réorientation à l’Université de Thiès en 2009 pour repartir à zéro. À ma deuxième année de Licence, l’idée de créer une PME est née. Avec ma bourse, j’ai pu formaliser ma boîte du nom de AVENTURE SÉNÉGAL.

Dans cette année, j’ai créé une marque de vêtements avec mon pseudo BADIENG.

LeadSen : Vos entreprises Aventure Sénégal et BADIENG se trouvent au Sénégal ou bien ? Elles font quoi ?

MABD :

  • BADIENG OFFICIAL est une entreprise de production et de commercialisation d’une gamme de vêtements dont la longueur et la profondeur des lignes sont à ce jour inexistantes au Sénégal.
  • AVENTURE SÉNÉGAL est une entreprise qui s’active dans la promotion du tourisme responsable et durable. C’est un moyen pour vendre la destination Sénégal avec des offres inédites, exceptionnelles et indescriptibles d’une expérience de visite et de découverte, de la diversité et de la richesse des sites à l’interieur du pays.

Elles sont basées au Sénégal plus précisément à Thiés, à la Cité MALICK SY.

Vu la situation, nous avions jugé nécessaire de faire la jonction et de créer une chaîne d’entreprises pour élargir nos champs. C’est par là que nous avons créé, en décembre, BADIENG CORPORATION INTERNATIONAL qui regroupe à son sein BADIENG OFFICIAL, AVENTURE SÉNÉGAL, BADIENG CLEAN (une société environnementale) et BADIENG TV (une société d’informations, culturelle et webtv).

LeadSen : Vous avez entrepris très tôt, d’où vient cette culture entrepreneuriale ?

MABD : D’une part, de mon père qui était officier de l’armée et formateur à Bango. Il nous a très tôt forgés dans la vie militaire, d’être soumis et travailleur. Je me rappelle bien chacun avait ses tâches à remplir avant son retour au week-end suivant.

D’autre part, le fait de vouloir faire et d’être autonome, je me souviens de mon salaire que j’ai eu pendant les vacances en 2001 à l’entreprise MADAS à 3 kilomètres de Pire sur la Route Nationale (RN) 2 alors que j’étais en classe de 4e secondaire. Pourtant, je ne manquais de rien, mais j’aimais juste découvrir l’univers du travail.

C’est avec ce premier salaire que j’avais offert un premier cadeau à ma mère.

LeadSen : Votre entreprise BADIENG a commencé à confectionner des vêtements ? Comment se portent les ventes ? Quand est-ce que vous comptez commencer leur commercialisation au Sénégal ?

MABD : Oui, nous avons relancé l’entreprise BADIENG le premier décembre 2019 au Sénégal, toujours à Thiès avec la première production dénommée SÉNÉGAL avec le slogan « SUÑU YEUF », une marque qui est l’incarnation du Sénégal. Elle se veut d’être une marque patriotique pour inciter la consommation locale.

D’ailleurs, nous visons l’horizon 2025 pour que la production se fasse au Sénégal.

Actuellement, le site web de vente en ligne est en court de création.

LeadSen : Quels conseils donneriez-vous à ceux qui veulent entreprendre ?

Quelles sont les difficultés que vous rencontrez ?

MABD : Entreprendre est la meilleure solution dans un monde où la notion du travail devient de plus en plus complexe. Même si tel n’était pas le cas, l’État ne peut pas garantir de l’emploi à toute sa jeunesse.

Certes, il est difficile de trouver un accompagnement de la part de l’État mais je conseille de commencer avec de petits moyens en investissant dans ce qu’on aime faire ou devenir.

On ne naît pas grand, c’est dans un processus de mutation qu’on le devienne. Les difficultés ne manqueront pas sur le chemin mais elles sont à surmonter. L’esprit d’un leader : « Chaque problème a une solution sinon il n’existait pas ».

LeadSen : Merci beaucoup. Votre mot de la fin !

MABD : Prière pour mes défunts parents, mon très cher papa et mon adorable mère.

Je remercie ma famille, mes amis.

J’ai une très grande reconnaissance à tous ceux qui ont forgé ma personne, de l’école coranique à l’université sans eux (toutes ces personnes que j’ai citées) je ne serai pas ce que je suis aujourd’hui. Un très grand remerciement à Leaders Sénégalais – LeadSen qui m’a donné l’opportunité de m’exprimer et de partager mon expérience. Je dirais tout simplement Leaders Sénégalais will lead Sénégal.

LeadSenFevrier2020

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L’équilibre des trois (03) piliers économique, social et environnemental étant au cœur des grandes discussions actuellement dans le monde, LeadSen a bien voulu accorder une interview à notre jeune compatriote de 21 ans Fanta Camara. Elle est fondatrice de SEE Media Group qui va fêter son premier anniversaire cette année.

LeadSen : Pouvez-vous vous présenter ?

Fanta Camara : Je me nomme Fanta Camara, jeune fille âgée de 21 ans et étudiante en bachelor en énergie, mines et environnement.
Intéressée par les sujets sur lesquels on peut s’appuyer pour aboutir à un développement du pays et du continent africain, Fanta s’engage depuis son bas âge dans des mouvements militant pour des causes intéressantes comme la protection de l’environnement, le changement social, l’autonomisation des jeunes et des femmes… Tels sont quelques domaines dans lesquels elle se bat.

LeadSen : Qu’est-ce qui vous a poussé à entreprendre à 21 ans ?

FC : Des raisons particulières m’ont poussée à entreprendre à cet âge puisque je n’ai pas grandi dans une famille d’entrepreneurs n’ayant pas de parents entrepreneurs ou un quelconque membre de ma famille qui entreprend. Ce n’est pas du tout héréditaire mais acquis.
Je l’ai acquis sur le terrain en voyageant, entrant en contact avec des hommes et des femmes impactés par des phénomènes environnementaux, ayant des connaissances qui ne maîtrisent pas les ODDs et qui sont toujours passifs quand j’en parle avec eux. Malgré mon jeune âge, j’ai eu ces expériences qui m’ont aidée à soulever un problème bien existant. Dès l’identification du problème, j’ai pensé aux façons spéciales d’y remédier car naturellement j’adore innover. C’est là où j’ai commencé à regarder, visionner les entrepreneurs engagés pour la lutte contre les changements climatiques et autres afin de voir ce qu’ils font et les problèmes qu’ils règlent. Ce visionnage n’a pas été compliqué puisque je croise souvent des entrepreneurs, j’en connais certains et j’ai participé à beaucoup de séminaire dans ce domaine. Après analyse, je n’ai pas vu des entrepreneurs qui informent, font savoir afin que d’autres s’y voient, s’inspirent, s’expriment, les autorités y voient des problèmes… Je n’ai pas vu de média pour les ODDs dans sa globalité.
Pour moi, l’information est la clé et la chose indispensable pour un changement. Quand on ne sait, on ne fait pas. C’est là où j’ai décidé de créer une entreprise pour éradiquer ce fléau.
J’ai fait fi de mon âge et je l’ai mis en place. Je me suis considérée comme une grande car je m’impose, j’ai mes objectifs et ma mission claire pour cette entreprise.

LeadSen : Présentez votre entreprise

FC : SEE Media Group est le média en général qui débute avec SEE MAG.
SEE MAG est le nouveau magazine pour la durabilité au Sénégal et même en Afrique. Senegalese Earth and Environment en abrégé SEE englobe la terre et l’environnement sénégalais dans tous les domaines intéressants tels que ceux des ODDs. Nous travaillons sur les questions environnementales, énergétiques, éducatives… de tous les secteurs et projets de l’état mais aussi des sujets pour des structures privées. Un magazine ayant une communauté répartie entre le gouvernement, les organisations de jeunes environnementalistes et autres, les étudiants, les citoyens conscients des enjeux actuels. Nous faisons des voyages dans les zones reculées pour permettre aux populations de s’exprimer, donner leurs avis…, couvrons des importantes rencontres en rapport avec les ODDs comme le récent forum mondial de l’eau, interrogeons soient des directeurs de société ou soient les responsables RSE pour vérifier si l’aspect environnemental a été pris en compte dans leurs projets et autres. Dernièrement, pour le TER, nous avons sorti un numéro spécial qui traitait la durabilité du TER et la SETER, l’APIX… ont été interviewés, des usagers du TER ont parlé, même les sénégalais de la diaspora ont été interrogés pour les avis, messages et recommandations à leurs compatriotes et aux gouvernements sénégalais. L’infrastructure est relative à l’ODD 9. Nous ne cessons d’innover et toucher des parties importantes. Notre mission continue.

LeadSen : Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à entreprendre en étant jeune au lieu de chercher du travail (un contrat) ?

FC : Être entrepreneure, rêveuse c’est avoir une certaine mindset. Je ne dis pas que je n’aime pas être employée mais je veux écrire une histoire, faire partie de ceux qui laissent leurs empreintes de par leurs créativités. En étant employée, je serai limitée selon moi hors que mes ailes peuvent ne pas avoir de limites. C’est ma mindset. Ce que je vois d’ici 10, 15 ans (Insha’Allah) est d’être une grande cheffe d’entreprise qui a fait d’énormes choses et pouvant inspirer des générations. L’autre raison aussi peut être que j’adore me démarquer de la masse, l’âge est un atout, une occasion de montrer que c’est possible à tout âge. Néanmoins, je continue à faire mes cours en parallèle à la quête d’un diplôme d’ingénieur etc… je compte faire des stages pour approfondir mes expériences car j’adore découvrir et apprendre.

LeadSen : Comment trouvez-vous l’entrepreneuriat et quels sont les problèmes ou difficultes rencontrés ?

FC : Je trouve que l’entrepreneuriat est intéressant et peut régler beaucoup de problèmes. Je l’ai débuté en 2021 et SEE MAG aura bientôt 1an. C’est 1an de dur travail, d’acharnement. Il y a eu des problèmes et difficultés mais on a toujours essayé et essaie toujours d’y faire face. Il s’agit d’un manque d’importance ou moins d’attention accordée à un entrepreneur jeune de 21ans et surtout si c’est une entreprise nouvelle. Maintenant ça commence à bouger mais à nos débuts on peinait même à décrocher une interview avec une autorité ou grande personnalité. On envoyait des demandes d’accréditation pour couvrir des événements mais sans réponse… c’était normal selon moi car c’est à nous de prouver et nous prouvons. Les autres difficultés peuvent être articulées sur le non intérêt de la plupart des sénégalais sur les questions de développement durable mais on fait notre maximum pour sensibiliser et changer d’énormes comportements. En outre, le financement est un problème majeur chez tous les entrepreneurs et chez moi. Jusque là, tout est sur fond propre… on souhaite que des partenaires puissent nous accompagner dans cette mission et encourager notre innovation.

LeadSen : La jeunesse est un avantage ou un inconvénient quand on entreprend ?

FC : D’une part, oui et d’autre part non. Mais, il y a plus d’avantages que d’inconvénients. Ces derniers sont juste la discrimination négative quand il s’agit d’un marché à gagner etc… certains grands n’ont aucune empathie pour les petits. D’autres clients préfèrent voir les plus grands croyant que les jeunes sont moins compétents etc… Il y a les problèmes de la famille surtout quand le jeune entrepreneur est seul PDG de la maison. Les parents pensent que l’enfant est dans des choses pas du tout intéressantes car au début il n’y a que des investissements, déplacements, sacrifices faits sans argent en retour. S’ils ne comprennent pas qu’il faut du temps pour qu’une entreprise grandisse, ils te démotivent, les amis pareils, l’entourage. Quant aux avantages, il y a une préparation d’un avenir certain si l’entrepreneuriat est bien fait. C’est rare de voir un entrepreneur chevronné et confiant rater sa mission. Rien que pour ça, tous les jeunes entrepreneurs doivent se battre surtout quand on est dans un pays ayant beaucoup de chômeurs, de travailleurs ne pouvant même pas assurer toutes leurs charges. Au delà de ça, voir un problème et le résoudre est encore un moyen de prouver sa citoyenneté, patriotisme et passion pour le changement. Être entrepreneur peut être une confirmation d’un statut important sur la société. En plus, l’indépendance est une chose que tout le monde veut. Meme étant jeune, assurer ses propres dépenses est forger une certaine responsabilité qui va bien servir pour l’avenir. Un jeune entrepreneur motive, crée des emplois et écrit son histoire pour les générations futures. Beaucoup d’avantages très importants.

LeadSen : Quels conseils donnerez vous aux jeunes qui veulent entreprendre ?

FC : Je leur dis de se lancer. Vus ces nombreux avantages, ils s’en sortiront certainement. Il n’y a pas le feu, il faut juste la passion, une forte détermination et un bon choix de sa team car c’est aussi important. Des personnes ayant les mêmes visions marchent ensemble pour réussir ensemble.

LeadSen : Qui sont vos idoles ou références ?

FC : Mes idoles ou références sont ceux qui m’ont inspirée. L’inspiration se trouve du côté des entrepreneurs américains haha. Les livres des entrepreneurs et la plupart américains comme Napoléon Hill, les secrets d’innovation de Steve Jobs, les texts sur Bill Gates …m’ont inspirée et m’ont donnée le courage de me lancer très tôt. Ils ont démarré très tôt et malgré les refus et les nombreuses difficultés ils n’ont pas abandonné. Je me rappelle à mes débuts, suite à l’identification du problème je me demandais si je m’en sortirai en créant cette entreprise à cet âge? Car je ne voyais guère d’entrepreneurs à cet âge dans mon entourage. Mais à force de lire, j’ai eu des clés et motivations. Au Sénégal, il y a M. Babacar Ngom étant parti de rien. Dans le secteur des médias où je suis, il y a Mme Amy Sarr Fall (Elle dit qu’elle a été inspirée par Mme Epoté, Directrice de TV5 Monde et moi en retour je lui ai dit qu’elle m’a inspiré. Mon père amenait Intelligences Magazines à la descente j’avais 13, 14ans etc… j’aimais en lire et j’aime toujours. Si aujourd’hui je produis des magazines, c’est parce qu’elle m’a montré que c’est possible). Ma mère également m’inspire beaucoup sur le côté travail car elle est bosseuse même si elle n’est pas entrepreneuse. Mon père aussi m’a donné ce côté assistance, empathie, aide aux humains… ce qui me pousse à être au service de l’homme dans mes actions. Cette entreprise a beaucoup d’aspects servant à impacter positivement l’humain.
Comme femme influente, je suis inspirée par Michelle Obama que j’adore beaucoup. Son courage, sa persévérance et confiance en elle me poussent à m’imposer chaque jour et devant tout.

LeadSen : Votre mot de la fin

FC : Je vous remercie pour cette interview accordée. Je souhaite succès à tous les entrepreneurs et bonne chance aux futurs. Il n’y a pas d’âge, il y a idée.

Bonne continuation à Fanta et à SEE Media Group.

Portrait Thierno Mahécor Diouf, DG BUUR GROUP

avril 26, 2022
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Amoureux et talentueux en mathématiques avec des prix obtenus en entre 2014 et 2015, Thierno Mahécor Diouf est spécialisé en finance de marché en tant que Quantitative Analyst -Counterparty Credit Risk en banque d’investissement.

Mahécor, ayant obtenu son baccalauréat au prestigieux Lycée Seydina Limamou Laye de Dakar, est titulaire de deux DEA en ingénierie mathématique, informatique et statistique en 2015 à l’Université de Bretagne Sud – ENSIBS et en modélisation et méthodes mathématiques en économie et finance en 2016 à l’Université Panthéon-Sorbonne – l’ENSTA Paris Tech. Il est titulaire auparavant d’une licence et d’une maîtrise en mathématiques fondamentales à Aix-en-Provence.

Il avait travaillé en 2016 à Crédit Mutuel ARKEA, puis à NATAXIS en syndication obligataire chez Global Market SMD en 2017. En août 2017, il rejoignit la Société Générale Corporate and Investment en tant que Market Risk Analyst – Equity Derivatives puis devint Counterparty Credit Risk Analyst en 2018. En août 2019, Mahécor rejoignit à nouveau NATIXIS en direction des risques sur activés de marché avant de le quitter six (06) mois plus tard pour rejoindre CACEIS Bank, filiale des groupes Crédit Agricole SA et Santander.

Soucieux et conscient de l’impact qu’il peut avoir dans son pays origine, il a mis en place la société Agro Teranga Sénégal (ATS) qu’il avait dirigé jusqu’en fin 2021. Il est aussi associé et directeur Fruitech France depuis Juin 2020.
Il dirige aussi BUUR GROUP(www.buurgroup.com) , une fintech basée à Dakar qui est en train de faire son chemin dans la transformation digitale.
BuurGroup est spécialisée dans le développement de solutions IT pour la finance, pour l’investissement et le financement de projets et dans le négoce de matières premières agricoles.
A travers BUUR, Il aide des dirigeants africains et d’entreprises à concrétiser leurs projets, à relever les plus grands challenges en leur offrant des services innovants dans les domaines financiers, bancaires et digitaux pour réaliser des résultats durables et générateur de plus-value pérennes.
Et ainsi, Mahécor participe à la lutte contre le chômage et à l’émergence des jeunes talents du Sénégal.

Mahécor est aussi un intervenant dans les écoles et universités dans les domaines qui touchent la finance de marché notamment la gestion des risques financiers. Thierno fait partie de ces jeunes africains qui n’ont pas peur d’oser, qui aiment innover et apporter leur pierre à la dynamique de construction très prometteuse du continent.

Bonne continuation à lui.

LeadSen

LeadersSénégalais

1 Comment
    Mame Thierno Birahim Mbacké Mbaye says: Reply
    novembre 6th 2022, 6:51

    Badieng the best 🔥 🥳

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